LA MAURICIE

—Notre résidénce : La Seigneurie du Triton —

Enfin nous entrons dans le quebec que nous attendions, celui de la foret boreale, des lacs, de la nature, du silence…

 

On nous a accueilli dans cette pourvoirie comme des amis, mais ce fut un parcours du combattant pour y arriver. Le village n’est plus loin, c’est ce que nous dit la carte… ha non il reste 26 km de montagnes russes. Une route incroyable ou on croit decoller a chaque fois qu’on atteind un sommet. Bon ca y est on y est. et ben non, encore 10 km de route caillouteuse. La une embarcation nous attend pour nous amener a la seigmeurie, terre de peche et de chasse. Le Soir Matthieu, un des guides fait des animations : expressions quebecoises autour d’un feu de camp ou soiree trappeur pour nous expliquer la trappe quebecoise.

 Le matin, Matthieu vient nous voir au petit dej pour nous expliquer ce qu’on peut faire. On a fait beaucoup de randonnee et de ballade en rabaska ( canot quebecois). Mes pieds et mes epaules s’en souviennent encore.

 Ici tout le monde est agreable, tout le monde se parle, on a fait de belles rencontres. Des lillois par exemples qui font leurs deplacemnts en hydravion, si c’est pa chic ca!

On a aussi ete visite un village indien qui est sur la propriete, une veritable amerindienne nous a raconte l’histoire, c’etait agreable de l’entendre parler et de voir son mari s’afferer au feu aussi.

 

Tous les paysages ici sont magnifiques. Les premices de l’automne se font ressentir : 4  degres ce matin ! et puis surtout les arbres roussissent. ca commence, le bout des feuilles des bouts des arbres prennent cette couleur si lumineuse, un regal.

 

Seul regret pour l’instant a part des ecureuils, un huard (canard) et un pic vert on n’a pas vu beaucoup d’animaux. Alors que nos voisins les lillois ont vu un ours sur une aire qu’on avait visite 3 heures avant eux…

Les barages de castors ont les a bien vus, mais pas les habitants. Et puis encore les Lillois ils ont vu des loutres dans un lac qu’on a fait aussi… Grrrrr on doit les faire fuire.

 

Tant pis, on s’est rattrappe aujourd’hui avec le zoo de St Felicien.

 

On a quitte la pourvoirie le coeur serre, on s’y sentait bien, tellemet loin de tout, un vrai havre de paix hors du temps.